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 André Syrota, PDG de l'Inserm, dirigera l'Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé ( Aviesan ) (16/11/2009)

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Danidan
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MessageSujet: André Syrota, PDG de l'Inserm, dirigera l'Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé ( Aviesan ) (16/11/2009)   André Syrota, PDG de l'Inserm, dirigera l'Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé ( Aviesan ) (16/11/2009) EmptyJeu 19 Nov - 15:34

Dépêche du blog INSERM
http://blogs.inserm.fr/synthesedepresse/2009/11/lundi-16-novembre-2009.html


André Syrota, PDG de l'Inserm, dirigera l'Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé ( Aviesan )

Dans un entretien accordé à La Tribune, André Syrota indique que l'Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé (Aviesan) a été créée notamment afin d'améliorer les interactions entre études cliniques et recherche fondamentale. Selon lui, l'enjeu d'Aviesan est de permettre à ses membres (Inserm, CNRS, Inra, Inria, Institut Pasteur, CEA, IRD et Conférence des présidents d'université, Conférence des directeurs généraux de CHU) de "mieux travailler ensemble". Il précise que l'idée consiste "à cesser de multiplier les interlocuteurs" et à simplifier la gestion des unités mixtes. Après avoir indiqué que l'Alliance va signer avec Sanofi un protocole d'accord, il cite une estimation selon laquelle, dans les prochaines années, "20% à 30% de la recherche privée se fera en partenariat" avec le public. Par ailleurs, concernant le grand emprunt, il considère qu'"il est démontré que, lorsque l'on investit dans les sciences de la vie et de la santé, le retour sur investissement est rapide et durable".
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MessageSujet: Article de la Tribune cité ci-dessus   André Syrota, PDG de l'Inserm, dirigera l'Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé ( Aviesan ) (16/11/2009) EmptyJeu 19 Nov - 15:41

http://www.latribune.fr/entreprises/industrie/chimie-pharmacie/20091115trib000443471/andre-syrota-demain-20-a-30-de-la-recherche-privee-se-fera-en-partenariat-avec-le-secteur-public.html

André Syrota, PDG de l'Inserm et futur patron de l'alliance nationale regroupant les principaux laboratoires publics des sciences de la vie et de la santé, détaille ses ambitions.

André Syrota, PDG de l'Inserm, dirigera l'Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé ( Aviesan ) (16/11/2009) Andre-syrota-de-l-inserm

Le président de la république a porté la recherche biomédicale au rang de priorité nationale tout en en soulignant les faiblesses. La France est-elle si mal placée ?

Cela provenait d'une mauvaise interprétation des données disponibles, depuis rectifiée. Selon l'indice d'impact, qui est le meilleur au niveau international (il tient compte des citations des chercheurs dans les publications), et dont la référence est 1 (au-dessous de 1, ce n'est pas bon et, au-dessus, c'est bon), la recherche biologique française est globalement à 0,96, ce qui n'est de fait pas bon. Mais si l'on regarde dans le détail, l'Inserm est à 1,45 (ce qui est remarquable), le CNRS à 1,35, l'Institut Pasteur à 2,13, le CEA à 1,29. En revanche, les universités, qui incorporent les publications de l'Inserm, du CNRS... , sont à 0,96. Le problème - et c'est particulièrement vrai dans les sciences de la vie et surtout en médecine - réside dans le fait que l'on incite les jeunes à publier beaucoup, même dans des revues dont l'indice d'impact est mauvais, en leur faisant valoir que, la quantité compte plus que la qualité. Par ailleurs, les laboratoires français attirent plus les jeunes chercheurs en Europe que les allemands ou les britanniques. Donc la recherche dans les sciences de la vie et de la santé en France est excellente.

Mais comme l'a souligné le rapport Marescaux sur les CHU, les unités de recherche clinique, non labellisées, souffrent d'un manque de reconnaissance par rapport aux laboratoires Inserm ou CNRS.

La recherche clinique jouit d'un renom international. Il existe dans les Centres d'investigation clinique (CIC) des unités mixtes réunissant Inserm, cliniciens, hospitalo-universitaires.... Nous sommes enviés par l'étranger dont la Chine et l'Inde. Le problème est que cette recherche est financée par les programmes hospitalier de recherche clinique (PHRC) et craint que l'Inserm ne veuille récupérer ces programmes. Mais ce n'est pas le cas. Par ailleurs, il n'y a pas assez de liens, notamment avec la recherche fondamentale. C'est l'une des raisons de la création en avril dernier de l'Alliance nationale des sciences de la vie et de la santé, baptisée Aviesan.

A quels besoins répond cette alliance ?

La recherche française a beau être excellente, elle n'est pas seule au monde. De nombreux pays européens (Royaume-Uni, Suède, Pays-Bas...) mènent d'ailleurs des réflexions sur la façon d'améliorer la recherche sur les sciences de la vie et de la santé. Or en France, on a la fâcheuse habitude de créer une nouvelle agence pour chaque nouvelle maladie (cancéropôle, génopôle...), ce qui a conduit à une complexité sans équivalent dans le monde ! Il semblait donc important de simplifier et de coordonner ce système, sans modifier l'organisation de chaque membre, mais afin de pouvoir travailler ensemble. C'est pourquoi nous avons choisi de réunir huit acteurs de la recherche (Inserm, CNRS, Inra, Inria, Institut Pasteur, CEA, IRD, Conférence des présidents d'université) et d'y associer la conférence des directeurs généraux de CHU, mais aussi des agences de financement (Agence nationale de la recherche, Programme hospitalier de recherche clinique).

Concrètement, comment fonctionnera l'Alliance ?

L'idée est d'arrêter de multiplier les interlocuteurs. Aujourd'hui, lorsqu'un chercheur doit remplir une évaluation, il remet son rapport en deux à quatre exemplaire aux différents instituts avec lesquels il travaille ! Ce ne sera plus le cas. Il en ira de même pour la gestion des universités, avec des mandats de gestion unique des laboratoires. Ou encore des contrats de formation des jeunes chercheurs ou des commissions de recrutement de ces chercheurs, qui pourront auditionner ensemble les candidats même si le recrutement se fait ensuite de façon indépendante. Et ce afin d'identifier plus rapidement les meilleurs experts dans chaque domaine. On pourrait donner nombre d'exemples de ce type où l'on pourrait fusionner des missions du CNRS et de l' Inserm sans toucher à quoi que ce soit de l'un ou de l'autre. Et nous voulons faire la même chose avec l'université ; il existe maintenant des chaires d'excellence, les jurys sont paritaires entre les organismes et l'université. Ce n'est pas si compliqué que cela à faire, même si, initialement, des craintes ont été exprimées.

Pour la première fois, vous venez d'élaborer un plan stratégique. Quelles en sont les grandes lignes ?

Ce plan dépasse un peu l'Inserm. A la différence du contrat d'objectifs et de moyens que nous signerons en 2010 avec l'Etat et qui sera spécifique à l'Inserm, le plan stratégique est plutôt une réflexion sur ce que devrait faire la France dans le domaine des sciences de la vie et de la santé. Elaboré par les dix instituts thématiques de l'Alliance, qui regroupent des chercheurs de tous les organismes et de l'université, il est cours de finalisation et a fait l'objet d'une large consultation avec les chercheurs, les commissions, le conseil scientifique, les organisations syndicales et, bien entendu, les tutelles. Il sera présenté au conseil d'administration début décembre et je le présenterai également au conseil scientifique de l'Institut de biologie du CNRS. Attention, ce plan n'est pas une programmation. La recherche est faite de hasards. Mais il faut un certain nombre de grandes lignes directrices.

La première est d'explorer toutes les bases du vivant, d'avoir une recherche fondamentale très forte. Deuxièmement, les sciences de la vie ne sont pas seulement de la biologie, mais aussi de la physique, de la chimie, des mathématiques, et de plus en plus de l'informatique (utilisation de supercalculateurs pour le séquençage du génome...). Donc cela implique des approches multidisciplinaires et notamment un grand rôle des mathématiques. Troisième point : repenser des concepts et des pratiques que l'on disait "classiques". Par exemple, il faut maintenant des techniciens, des ingénieurs de très haut niveau pour faire fonctionner les plates-formes de biologie. On cherche aussi à substituer des techniques à l'utilisation des animaux, notamment génétiquement modifiés. Autre besoin, amplifier l'étude de spécialités comme l'anatomopathologie, la toxicologie, l'influence de l'environnement ou la pharmacologie pour décrypter le génome individuel, qui sera prochainement disponible pour 1.000 euros. En matière de recherche clinique, les cohortes [Ndlr : ensemble d'individus ayant vécu un événement semblable au cours d'une période donnée] de malades ou de sujets sains devront être de plus en plus importantes, au moins européennes, si ce n'est plus.

De même faudra-t-il unifier au niveau européen l'accès aux biobanques. L'Europe est la nouvelle dimension. Une réflexion est d'ailleurs menée sur les grandes infrastructures de recherche européennes, le programme ESFRI, auquel nous participons intensément. Nous sommes aussi confrontés à de nouveaux défis en matière de santé : vieillissement de la population, chronicité des maladies aiguës, accroissement des maladies neurodégénératives (l'Alliance est à l'origine de l'initiative de programmation conjointe européenne sur la maladie d'Alzheimer), incidence croissante de maladies non transmissibles et impact négatif sur la santé des facteurs de l'environnement. Enfin, se posent aussi les questions de la réémergence des maladies infectieuses, de la prise en charge des maladies rares, du développement de la médecine personnalisée, de l'efficience et de l'équité de notre système de santé puisque l'accélération des innovations médicales accroît les besoins de régulation. Tout cela nécessite à la fois une recherche très fondamentale et une recherche clinique. C'est l'objectif de l'alliance.

Quelle sera la gouvernance de l'Alliance ? Le chef de l'Etat a récemment demandé qu'elle soit fixée rapidement.

Je souhaite que tout soit fixé dans les trois semaines. Il n'y a pas beaucoup de problèmes, tout le monde est d'accord. La gouvernance devrait être resserrée et l'Inserm pilotant cette alliance, j'ai vocation à la présider.

L'enseignement supérieur et la recherche sont la première des priorités du grand emprunt avec à la clef, plus de 10 milliards d'euros. Est-ce suffisant ?

C'est extrêmement utile et immédiat. Mais en comparaison, aux Etats-Unis, le plan de relance du président Obama a octroyé 10,5 milliards de dollars supplémentaires rien que pour les NIH (National Institutes of Health, dont le budget était de 30 milliards de dollars) et 9,5 milliards pour le reste de la recherche. Pourquoi ? Il a été montré que, lorsqu'on investit dans les sciences de la vie et de la santé, le retour sur investissement est bien plus rapide et durable que dans n'importe quel autre domaine de la science. Selon un récent article de la revue "Science", compte tenu de la diminution de la force de travail aux Etats-Unis, il sera d'ailleurs nécessaire de quadrupler le budget des NIH dans les dix ans à venir pour l'amener à 120 milliards de dollars.

Comment évoluent vos relations avec le privé ?

L'industrie pharmaceutique vit elle aussi de profondes évolutions qui font qu'elle ne peut plus se permettre de vivre repliée sur elle-même, d'autant que la compétition mondiale s'intensifie. Elle a longtemps été basée sur la chimie, or l'émergence de biomolécules pour traiter les maladies les plus complexes l'oblige à se transformer. C'est un défi majeur, où certains labos sont encore en retard. De plus, même avec des dizaines de milliers de chercheurs au sein d'un groupe privé, il devient très difficile de trouver de nouveaux médicaments susceptibles d'être approuvés par les autorités de santé. Seule une vingtaine sont dans ce cas aujourd'hui chaque année. L'aspirine n'aurait certainement jamais été commercialisée si elle était jugée avec les critères actuels ! Enfin, l'industrie fait face au défi de la médecine personnalisée : un même médicament ne provoque pas nécessairement la même réponse chez deux personnes.

Quelle est la place de la recherche publique dans cette évolution ?

Pour les raisons que j'ai évoquées, les laboratoires privés doivent aujourd'hui être en liaison avec la recherche la plus fondamentale. Nous, organismes publics, sommes prêts aujourd'hui pour des partenariats avec les industriels. Il ne s'agit pas de fusionner les deux mondes mais de rester indépendants tout en étant financés en partie par le privé. D'ailleurs, nombre de sociétés de biotechnologie viennent à l'origine du public. J'estime aujourd'hui que l'essentiel de nos laboratoires sont désireux d'avoir des relations avec l'industrie.

C'est d'ailleurs aussi l'intérêt de l'Alliance. Les laboratoires privés nous disent préférer nouer des partenariats à l'étranger justement en raison de la complexité de la recherche publique française. Avec l'Alliance, ils vont bénéficier d'un mandataire unique pour les partenariats et la valorisation des découvertes. A ce titre, nous venons de signer un protocole d'accord avec le premier laboratoire privé français, Sanofi-Aventis, [pour un montant de 50 millions d'euros, ndlr] qui sera opérationnel d'ici la fin de l'année. Sanofi y exprime quatre axes d'intérêts pour la recherche fondamentale. L'objectif est de pouvoir avoir des relations avec les meilleurs chercheurs, indépendamment de toute retombée industrielle immédiate. Progressivement, le privé va s'appuyer sur la recherche académique. On estime aujourd'hui que 20 à 30% de la recherche privée se fera en partenariat dans les prochaines années.

Comprenez-vous les industriels lorsqu'ils se plaignent de la trop courte durée des brevets (20 ans) pour rentabiliser les efforts de recherche médicale ?

La durée du brevet est l'affaire des industriels. Mais c'est vrai, le temps d'exploitation devient de plus en plus raccourci. Quand un laboratoire fait une découverte et qu'il touche des redevances, plus on en a, mieux c'est. Mais c'est là un problème plus général.

Les Français se méfient du vaccin contre la grippe A et redoutent les effets des adjuvants. Que leur dites-vous ?

C'est totalement absurde. J'ai été vacciné vendredi et j'ai fait vacciner ma famille. La vaccination est quelque chose de majeur. Beaucoup de pays du monde souhaitent pouvoir disposer de ce vaccin qui a démontré son inocuité. Quant aux adjuvants, ce sont les mêmes que l'on trouve dans d'autres vaccins. Personnellement, je préfère être vacciné et ne pas avoir le risque, même s'il est faible, de me trouver en réanimation pour une insuffisance respiratoire aiguë.

La communication a-t-elle été mauvaise ?

Non, il y a surtout eu beaucoup de communication. On a attiré l'attention de l'opinion publique. Il y a déjà eu par le passé des épidémies de grippe graves. Celle-ci l'est potentiellement. Le ministère de la Santé a fait un effort financier considérable pour vacciner tout le monde. Il ne l'aurait pas fait, cela lui aurait été aussi reproché. L'alliance a d'ailleurs fait la preuve de son efficacité à cette occasion. Dès le début de l'épidémie au Mexique au printemps 2008, on a réuni en moins de 24 heures tous les experts du sujet : virologues, épidémiologistes, anthropologues, représentants des centres nationaux de référence et des industriels. Ils ont immédiatement décidé des recherches à faire dans les six mois qui suivaient. Six mois ont ainsi été gagnés pour la constitution de cohortes. Tout cela a été fait et mis en place avec quatre groupes de travail qui se sont réunis cinq ou six fois et qui cela s'est révélé extrêmement efficace. A titre de comparaison, lors de l'épidémie de chikungunya, il n'y avait aucune coordination entre organismes.

La quête du progrès mérite-t-il toujours que l'on prenne des risques ou le principe de précaution doit-il prévaloir ?

La recherche académique est une recherche évaluée par les pairs. En permanence, nous veillons à l'éthique ; c'est un sujet que nous voulons développer au même titre que l'intégrité scientifique. Certaines publications attirent l'attention sur des risques, sans aucun facteur d'impact, sans comité de lecture scientifique. Il faut quand même mettre en balance ce qu'est une recherche vraiment scientifique de ce qui est de l'amateurisme. Je pense que tous les progrès de la science pourraient être rendus compréhensibles par l'opinion si ceux qui ont écrit des articles dans des revues dignes de confiance sont capables de les retranscrire en termes accessibles dans des magazines grand public.

En tant que chercheur, vous avez travaillé sur les effets de la radiobiologie dans le développement de cancers. Comprenez-vous les craintes suscitées par les ondes des téléphones mobiles et les antennes relais des opérateurs ?

On tombe là dans le domaine des faibles doses et des faibles débits de doses. Il y a eu beaucoup de choses écrites à ce sujet et aucun effet n'est démontré. On peut multiplier les études épidémiologiques, on ne mesure aucun effet. En revanche, je rappelle quand même qu'on guérit une grande fraction des cancers grâce à la radiothérapie, qui recourt à de fortes doses de rayonnements ionisants. Donc heureusement que ces rayonnements existent. Plus largement, la génomique va permettre d'étudier très finement les effets des faibles doses et des faibles débits de doses des polluants, en particulier chimiques et environnementaux. Cela figure dans notre plan stratégique. Mais encore une fois, ce qui compte ce sont les effets globaux et là on observe rien.



Propos recueillis par Clarisse Jay, Pierre Kupferman et Audrey Tonnelier
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